Bulle "Le nouveau monde", samedi 30 janvier.
Ça demande pas mal d'organisation (et d'économies ...) mais, entre le plaisir de s'y retrouver et la joie d'en repartir avec ses dédicaces (les siennes à soi avec son nom dessus), on s'arrange toujours.
Petit récapitulatif de notre séjour 2016, en photos et en vidéo.
Musique : Dog days are over - Florence + The Machine
Le FIBD, ce sont des dédicaces, des expositions, des tables rondes, ou encore des démonstrations.
Nous, on est plutôt de ceux qui attendent pendant des heures devant un stand pour repartir avec un joli dessin sur la page de garde de l'album qu'on vient d'acheter. Chacun son truc.
Entre autres, on a eu l'occasion de rencontrer :
- Arleston, scénariste
- Crisse, dessinateur.
- Rubén Pellejero, dessinateur
- Alberto Varanda, illustrateur
- Barbucci, dessinateur
- Pellet, dessinateur
- Istin, dessinateur, scénariste et directeur de collection.
- Puis, je me suis lassée de prendre des crânes en photo.
Pour certains, ça parait fou de faire des heures de queue, de piétiner, d'avoir mal au dos et aux pieds "juste" pour une dédicace. Nous, on adore.
En plus, ce sont des endroit très conviviaux et on finit toujours par discuter avec les gens qui attendent avec nous.
Alors, ce moment où, justement après toute cette attente, on repart du stand avec un dessin, fait en direct, de la main de quelqu'un dont on admire le travail, ça n'a pas de prix*.
Bon, en vérité, si, ça a quand même un prix. Mais je tâcherais d'y revenir dans quelque mois, dans un guide pratique, pour ceux qui se laisseraient bien tenter par l'édition 2017.
Je sais que l'article est court et arrive très en retard par rapport à la date du festival. C'est la vie ! J'espère qu'il aura donné une petite idée de l'ambiance du FIBD à ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de s'y rendre.
*Pour tout le reste, il y a Eurocard Mastercard. Je sais.
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