Les prérogatives étaient simples. S'éloigner de la grisaille parisienne pour découvrir cette ville en pleine transformation, tanquée entre patrimoine historique et culture alternative.
Sur la feuille de route, peu de visites de musée et autres monuments. Il y aurait eu fort à faire, mais l'attention était plutôt portée sur ces lieux originaux ou récemment sortis de terre. Des galeries, cafés ou jardins où se rencontrent touristes et jeunes lisboètes.
Ça, c'était la feuille de route.